L'argent sale
Nous sommes dans un monde où l'argent contrôle tout .Et malheureusement des jeunes et des vieux se font beaucoup avoir par le désir d'avoir l'argent facile .Évidemment l'islam n'interdit pas la richesse ou le désir d'avoir beaucoup d'argent . Oui s’il s’agit de l’argent ‘’hallal’’ gagné à la sueur de son front, mais pas de façon illicite ?
Mais aujourd’hui, l’argent est le bienvenu sans se soucier de son origine, argent sale, argent volé, argent détourné, argent des pots de vin, argent de la drogue, argent de la débauche, argent dérobé de l’héritage des orphelins , peu importe, tant qu’il est là à nous servir , tous les moyens sont bons !
Et malheureusement beaucoup de gens ne demandent que ça ! Le goût du luxe, le virus du désir devenir riche a contaminé toute la société, des plus jeunes aux plus vieux, il ne se passe pas un jour sans que nous entendions d'épouvantables actes de vol, détournements, drogues et violations des droits humains commis pour de l’argent. Qu’en est-il des valeurs islamiques qui nous enseignent de vivre honnêtement avec de l’argent qu’on gagne à la sueur de notre front ? L’Islam a beaucoup insisté sur la nécessité pour chacun de gagner sa vie en travaillant dur et en déployant des efforts soutenus. Car, comme on le dit, la meilleure force, c'est sa propre force. Une vie de parasite est dégradante. (Allah) dit : « L'homme ne possédera que ce qu'il aura acquis par ses efforts.» (Sourate al-Najm, 53 : 39). Un jour, la question suivante fut posée au Prophète Mohamed que le salut d'Allah soit sur lui : « Quel est le gain le plus propre et le plus licite ? » Il répondit : « C’est le gain résultant du travail effectué à la main et celui résultant d’un commerce honnête. »
Djazia Saim
L'argent ne fait pas le bonheur, mais y contribue-t-il vraiment ? Ne nous cachons pas la vérité, quand on a de l'argent, cela facilite grandement les choses ! Mais il faut vraiment garder à l'esprit que le bonheur et le fait d'être heureux ne sont en aucun cas liés à l'argent que l'on possède ! Peut-on être heureux sans argent ? Oui ! Et même triple oui ! S'il suffisait d'avoir plusieurs zéros sur son compte pour atteindre le bonheur... ça se saurait ! Regardez toutes les grandes stars qui se suicident ou même qui "perdent la tête". Elles sont toutes riches à millions, mais ne disposent pas forcément du bonheur qu'on croit associer à cette fortune ! Ou encore Steve Jobs (le patron d'Apple, société à la réussite exemplaire... pour ceux qui ne seraient pas sortis de chez eux depuis 30 ans). Des millions, milliards... et pourtant, il n'est plus parmi nous. Eh oui, les vilaines maladies ne sélectionnent pas les personnes atteintes en fonction de leur chiffre d'affaires ou de leur compte en banque ! Alors, à contrario... il n'est évidemment pas nécessaire d'être riche pour être heureux. Être heureux, c'est un choix, une décision, un travail sur soi... Une façon de voir la vie. Et la vraie richesse, c'est ça ! Evidemment l'argent facilite la vie. On ne va pas se mentir : être au chômage en fin de droit... c'est plus compliqué que d'être un jeune cadre supérieur bourré. MAIS... ça ne fait pas tout ! L'idée est surtout de faire de sa vie une vie remplie de belles choses, et surtout de savoir apprécier ces belles choses. Le bonheur, c'est tout simple, c'est une somme de petits instants, ce n'est surtout pas un état durable... et encore moins un chiffre sur un compte en banque ! Et le bonheur, ça se décide, alors il ne tient qu'à vous de vous lancer !
Hamid Mohamed
On est habitué à ce genre de responsables qui parrainent les faux investisseurs de la Chkara, lunettes noires, le buste fourni et l'autoritarisme, devant les caméras surtout..! Ces suivistes aux grés des conjonctures, font tout pour être vus...! Je ne sais pas si un investisseur étranger lui demande audience, on devrait faire parvenir un traducteur confirmé…L'aberration.., tout simplement...!!
Houda muslum
Un jour, la question suivante fut posée au Prophète (QSSSL) : « Quel est le gain le plus propre et le plus licite ? » Il répondit : « C’est le gain résultant du travail effectué à la main et celui résultant d’un commerce honnête. »Tous les prophètes envoyés comme messagers par Allah avaient un métier en fonction des conditions et des potentialités de leurs lieux d’habitation. Idriss (a.s.) exerçait dans la couture, Nûh (a.s.) et Zakariyâ (as) avaient pour activité la menuiserie ; Ibrahîm (a.s.), Hûd (a.s.) et Salîh (a.s.) faisaient du commerce, et Ayyûb (a.s.) pratiquait l’agriculture. Tous ces prophètes étaient des modèles et gagnaient leur vie sans dépendre d’autrui. Dawûd (a.s.) qui ne trouvait pas normal de vivre des revenus de l’État qu’il gouvernait s’était lancé dans le métier de forgeron et fabriquait des armures qu’il vendait pour gagner sa vie..Certains prophètes comme Mûsâ (a.s.) et Muhammad (s.a.w.s.) exerçaient le métier de berger. En vérité, chaque prophète a exercé le métier de berger à un moment de sa vie.
Hadj Benaceur
Selon Ibn ‘Abbas (r.a) et Anas Ibn Malek (r.a) le Messager d’Allah (pbsl) a dit : « Si le fils d’Adam avait une vallée pleine d’or, il en souhaiterait une deuxième . » « Heureux est celui qui gagne sa vie de manière licite, celui dont le cœur est propre, l’apparence belle, et qui ne fait pas de mal à autrui. Heureux est celui qui utilise ses connaissances sur la voie d’Allah, qui dépense de ses biens sur la voie d’Allah, et qui ne parle pas inutilement. »
Halima Ben
« L'argent est un talon de botte en usage chez les petits hommes ; en grandissant le talon, ils arrivent à faire croire qu'ils sont de taille ordinaire, et même quelquefois de grande taille. Il est vrai qu'il n'y a guère que les sots qui se trompent si grossièrement, et encore parce qu'ils les mesurent à leur aune. »
Mokhtar Bouhella
Le pays est infesté par la mafia et partout coule l'argent sale et c'est très difficile d'éradiquer ce fléau..Une question de mentalité et avidité...
Kacem Ref
Dans une société où l'argent est roi, la culture ne vaut pas un sou !L’argent est devenu la seule culture qui nourrit l’esprit du peuple, et qui a mené notre société droit dans le mur de la déliquescence, la corruption et la haine, et c’est cet argent qui nous a changé cette Algérie d’antan, la belle époque, ou l’élève considérait l’instituteur comme un deuxième père, et l’école comme une deuxième mère et le quartier sa deuxième famille ! L’école est un jardin ou implante le futur d’un pays, et la culture est la semence qui forme les grands hommes et femmes, elle est aussi l’oxygène qui donne la vie à l'âme. La société est aujourd’hui vidée de sa substance, absence de civisme, de la citoyenneté, nourrie de la primauté du pouvoir de l’avoir et non du savoir. Il faut construire une école qui fabrique l’homme citoyen, l’homme responsable, l’homme rationnel, l’homme civique. Les programmes scolaires actuels ne cautionnent plus les règles de bonne conduite, les valeurs universelles, la morale et la civilité. On remarque un déficit flagrant en matière de culture. Un déficit qui se manifeste dans la mauvaise communication entre l’élève et l’instituteur : une mauvaise appréciation c.-à-d., une mauvaise note, sinon la médiocrité du travail fourni par l’élève est vénérée et l’instituteur est châtié par les parents de l’élève !
A MEDITER
L’homme le plus riche du monde
Quelqu'un a demandé à Bill Gates, l’homme le plus riche du monde : "Y a-t-il quelqu'un de plus riche que vous dans le monde ?" Bill Gates a répondu : "Oui, il y a une personne plus riche que moi."
Il a ensuite raconté une histoire...
« C’était à l’époque où je n’étais ni riche ni célèbre. J'étais à l'aéroport de New York quand j'ai vu un vendeur de journaux. Je voulais acheter un journal, mais j’ai constaté que je n’avais pas assez de monnaie. J'ai donc abandonné l'idée d'acheter et je l'ai retourné au vendeur. Je lui ai dit de ne pas avoir la monnaie. Le vendeur a déclaré : «Je vous donne ceci gratuitement.» Sur son insistance, j’ai pris le journal. "Par coïncidence, après deux ou trois mois, j'ai atterri au même aéroport et il me manquait encore de monnaie pour un journal. Le vendeur m'a offert le journal à nouveau.
J'ai refusé et j'ai dit que je ne pouvais pas le prendre car je n'ai pas de monnaie aujourd'hui non plus.
Il a dit : "Vous pouvez le prendre, je le partage avec mon bénéfice, je ne serai pas à perte."
J'ai pris le journal.
Après 19 ans, je suis devenu célèbre et connu des gens. Soudain, je me suis souvenu de ce vendeur.
J'ai commencé à le chercher et après environ un mois et demi de recherches, je l'ai trouvé.
Je lui ai demandé : " Est-ce que vous me connaissez ? ", Il me répondit : " Oui, vous êtes Bill Gates."
Je lui ai demandé à nouveau : "Vous souvenez-vous quand vous m'avez donné un journal gratuitement ? "Le vendeur a dit : “Oui, je m'en souviens." Je t'en ai donné deux fois."
J’ai dit : "Je veux rembourser l’aide que vous m’avez apportée à cette époque. Tout ce que tu veux dans ta vie, dis-le-moi, je vais le réaliser. "Le vendeur a dit : "Monsieur, ne pensez-vous pas que cela ne vous permettra pas d’être à la hauteur de mon aide ?"J'ai demandé : “Pourquoi ?”
Il a dit : "Je vous avais aidé quand j'étais un pauvre vendeur de journaux et vous essayez de m'aider maintenant, quand vous êtes devenu l'homme le plus riche du monde. Comment votre aide peut-elle correspondre à la mienne ?" Ce jour-là, j’ai réalisé que le vendeur de journaux était plus riche que moi, car il n’attendait pas de devenir riche pour aider quelqu'un.
Les gens doivent comprendre que les véritables riches sont ceux qui possèdent un cœur riche plutôt que beaucoup d’argent. C’est très important d’avoir un cœur riche. »