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Dans une lettre rédigée et signée par 9 membres des 17 que compte l’APC de Télagh, formant ainsi la majorité, ces derniers déclarent avoir déjà informé le wali, premier responsable de l’exécutif de wilaya sur cette forme de stagnation des activités internes mais aussi et surtout, sur la mise en minorité du P/APC et le blocage de l’assemblée municipale qui s’ensuit faute de consensus collectif. « Nous avons à maintes reprises proposé à l’APC un consensus en mettant nos divergences de côté concernant notamment le point de discorde, mais en vain », affirment les signataires. « Notre seule et unique revendication, ajoutent-ils dans la lettre collective, serait le départ pur et simple du maire que nous accusons de tous les maux notamment d’incapacité dans la gestion des affaires communales, de méconnaissance de la réglementation en vigueur et de la tenue d’une séance illégale programmée le 19 août 2024». Ainsi donc les services communaux avancent au ralenti et le développement local dans la seconde plus importante ville de la wilaya de Sidi Bel-Abbès semble devenu otage d’un blocage sans précédent. Réflexion n’a pu le rejoindre pour d’amples renseignements car son téléphone mobile est resté fermé.